Le terme de sophrologie vient de 3 racines grecques 

  • sôs = harmonie, tranquillité, sérénité 
  • phrên = esprit, conscience 
  • logos = science, étude

Ces racines permettent de comprendre la richesse et la diversité des champs d'application de cette discipline.

Étymologiquement : « C'est la science de l'esprit équilibré. C'est l'étude de l'équilibre, de l'harmonie de la conscience. (Pr A. Caycédo »). Créée par le Pr Alfonso Caycédo, médecin neuropsychiatre, elle est inspirée par l'école phénoménologique existentielle. Alfonso Caycédo fonda la sophrologie en 1960 à Madrid.

 

Première période : Sophrologie Médicale -1960-1977. Cette méthode est basée sur son expérience clinique et son observation du monde moderne. Après des voyages en Inde, au Tibet et au Japon pour y étudier les conceptions diverses de la conscience, il installe à Barcelone un centre de recherche à l’Hôpital Clinique de la Faculté de Médecine et crée les trois premiers degrés de la Relaxation Dynamique et leurs techniques spécifiques, ainsi que les écoles de Sophrologie Caycédienne, en France, en Suisse, en Belgique, en Espagne, en Italie et au Portugal.

Deuxième période : La Sophrologie Clinique et Sociale – 1977 – 2010. Création de la sophrologie sociale au Brésil pour que cette profession soit susceptible d’apporter des solutions aux problèmes des pays en voie de développement. La Sophrologie se constituant dès lors en deux branches : La sophrologie Clinique ouverte aux professionnels des sciences de la santé et La Sophrologie Sociale ou Socio prophylactique, avec sa classification spécifique. Déclaration de Genève en 2000 et Premier Symposium International de Sophrologie Caycédienne en 2010 pour commémorer les 50 ans de la Méthode Sophrologique qui reçoit le nom de Méthode Alfonso Caycédo comme garantie d’authenticité et comme responsabilité légal d’origine.

Troisième période : La Sophrologie Écologiques Des valeurs Phroniques De L'être à partir de 2010. Ce processus c’est développé avec la pratique d’une méthodologie original vers la conquête de nouveaux espaces vitaux où puisse se développer une nouvelle écologie où l’être humain et ses Valeurs Phroniques soient le centre d’un écosystème au service de la personne humaine et de la société à venir.